Quand les gens me invitent à parler quelque part, je dis souvent que si je suis en voyage pour y arriver, de faire le meilleur usage de moi pendant que je suis là. Ce voyage a certainement fait. Après son arrivée par le train à la gare de Valence TGV, ma première nuit, je fus accueilli dans une belle maison dans les collines dans le pays en noyer. Tout autour de la maison sont des arbres de noix, dans une région célèbre pour ses plats et boissons à base de ce plus splendide de noix, la reine des arbres. Le soir, je suis arrivé j’ai rencontré des militants locaux, et le matin, je suis arrivé à passer un certain temps avec le fils de mon hôte, Noé, un constructeur naturel hautement qualifiés et d’argile plâtrier, qui avait construit un beau studio sur le côté de la maison où elle utilise pour ses constellations travaillent (voir ci-dessous).

Pendant le matin Patrice, qui m’a invité, est venu de me chercher avec Tristan, Estelana et Eve, les trois jeunes gens qui étaient mes traducteurs pour le voyage. Nous nous dirigions pour Grenoble, mais nous nous sommes arrêtés en route dans un beau village appelé St Antoine. Splendide!  (vérifier les belles photos ci-dessous). Je voulais juste passer toute la journée avec mon carnet de croquis et peintures …

Nous nous sommes promenés autour de la (congélation) ancienne église, puis avons été invités par la communauté de L’Arche il (une communauté résidentielle fondée sur la communication non violente et gandhienne  pour le déjeuner. Nous avons eu un bon repas et un accueil charmant, lavé nos plats, avait une promenade autour regardant leurs jardins potagers et les tas de bois  (toujours un indicateur de résilience clé pour moi), et a continué sur notre chemin à Grenoble.

Grenoble est la seule ville en France à avoir élu un maire vert. Il est également une ville, comme plusieurs autres en France, souffrant d’une grave problèmes de qualité de l’air. Le jour de notre visite, des mesures spéciales ont été mises en place pour répondre à un pic de pollution de l’air causée par les conditions météorologiques (et par toutes les voitures bien sûr, et l’industrie lourde). Ces jours les limites de vitesse dans et hors de la ville sont réduits. Le gouvernement de la ville de Grenoble lancent une Biennale de Mars sur le thème «Villes en transition» ( «Villes en transition»). Il est un programme ambitieux, avec le thème utilisé pour introduire une monnaie locale pour la ville ( «le Cairn»), un déploiement de pistes cyclables, les énergies renouvelables et bien plus encore.

J’ai donné une conférence à l’Hôtel de Ville où plus de 600 personnes sont venues. Il a été emballé. Voici la vidéo de ce discours …

Le film ‘ Tomorrow’ ( ‘ Demain’ ) a conduit à un engagement remarquable des jeunes dans les questions autour de la durabilité.  Une enquête récente a révélé que, pour la première fois depuis de nombreuses années, l’ écologie maintenant les sondages comme étant le principal sujet de préoccupation pour les jeunes en France. Et il était certainement visible dans toutes les discussions que j’ai donné combien de jeunes sont venus. Le discours de Grenoble a été éperonné, et les gens étaient vraiment engagés, mon discours très bien accueilli.

Après cela, le maire (voir ci-dessus) ont parlé de leurs plans, et nous ont ensuite été invités à un événement dans un lieu magnifique dans la ville où il devait annoncer officiellement le lancement de la Biennale. Il y avait une belle exposition photographique de Bernard Meric, un photographe qui avait fait le tour de la ville à la recherche des exemples de résilience qui existe déjà: les réparateurs de vélo, des cafés de réparation, les projets d’énergie solaire et ainsi de suite. Il y avait aussi un cadre détaillé sur les plans de ce que la Ville veut atteindre au cours de la Biennale. La salle était remplie de dignitaires et d’autres populations locales pour le lancement.

Lui et moi (et Eve, qui traduisait pour moi), monta les escaliers en colimaçon serré, et à travers les chambres vides en coulisses, de sortir sur un balcon un étage au-dessus tout le monde (voir photo ci-dessous). Tout comme le maire a commencé son discours, un groupe de personnes qui manifestaient des compressions dans les bibliothèques locales (je crois) était juste au-dessous de nous avec une grande bannière … certainement une première pour moi. Il y avait des huées occasionnelles d’eux, et les applaudissements de tout le monde. On m’a demandé de dire quelques mots, un peu stressant étant donné la démonstration ci-dessous. Mais apparemment, ce genre de chose arrive tout le temps en France, il est tout simplement la façon dont il est fait. Certes, une nouvelle expérience pour moi si …

De là, nous nous dirigeons vers la ville de Romans pour faire un autre discours (je vous ai dit qu’il était un programme emballé!). Toujours une expérience étrange de conduire dans une ville avec votre visage plâtré sur les arbres le long de la rue principale.

La conférence faisait partie d’un programme plus vaste, appelé « Le Festival of Love ‘(pas ricaner à l’arrière là …). Première fois que j’ai jamais parlé à l’ un de ceux – là! A quelques centaines de personnes cette fois, encore beaucoup de jeunes gens, et certains une grande interaction et la participation. Mes jeunes traducteurs ont fait un excellent travail, et nous avons tous finalement assis pour un repas partagé à environ 11h30!

Le lendemain, nous avons visité une nouvelle maison construite par mon hôte Patrice. Une belle charpente en bois, en paille et d’argile-plâtré maison, avec un studio de mouvement au rez de chaussée et espace de vie ci-dessus. Le studio est terminé et en cours d’utilisation, le reste est encore un chantier de construction. Toujours merveilleux de voir la construction naturelle dans le processus! Nous avons ensuite rencontré Bernard, qui nous a invités à sa maison pour le déjeuner, et de discuter de l’atelier que lui et moi serait facilite plus tard ce jour-là dans Romains.

L’atelier a duré de 2-5 et environ 30 personnes était venu. Ce fut l’occasion de réfléchir plus profondément sur les mécanismes de transition, sur ce que les gens se sentaient comme les obstacles à leur s’impliquer. Nous avons parlé des 7 ingrédients essentiels de la transition , l’animal de transition, et d’ autres choses aussi.

Notre prochain port d’escale était Lyons, pour un entretien. En route nous nous sommes arrêtés avec la famille de Estelana, qui étaient très accueillants, nous nourrir des plats délicieux dans les quelques minutes que nous avions avant nous sommes partis pour Lyon. Lyon, comme Grenoble, ainsi que Paris et plusieurs autres endroits, a eu des restrictions de voyage en place en raison de la flambée de la pollution. Nous étions en contre la montre, en essayant d’arriver à temps pour un entretien qui a été configuré pour démarrer à 7. L’idée initiale était d’obtenir une salle plus grande, mais cela n’a pas été possible, donc ils avaient réservé une place avec une capacité de 130, et tous les billets avaient vendu le premier jour!

Ne sachant pas Lyon, et d’obtenir un peu perdu, signifie que nous avons effectivement arrivés à 19h50, mais personne ne semblait à l’esprit trop. Il ne signifie pas cependant que nous avons eu à passer cette scène particulière, ce qui m’a frappé comme étant plutôt délicieusement romantique.

La chambre de la conférence a été éperonné, encore une fois avec beaucoup de gens plus jeunes, et une foule vraiment engagée. L’entretien a été également diffusée en direct sur Facebook, avec plus de 2.000 personnes à regarder. Nous avons eu une grande discussion, quelques grandes questions, une grande implication, vraiment une très belle soirée. Tout enveloppé avec nous partager une grande pizza (ci-dessous, avec Estalana et Tristan), et un gâteau régional d’amande qui comprend 2 figurines en porcelaine, un pour représenter un roi et une reine (voir ci-dessous … roi comme petit chat étrange …). Tout le monde le sait, mais pas moi … je me suis presque cassé une dent! Nous sommes retournés sur la longue route à Romans, où je dormais la nuit.

Pour le dernier jour, je devais parler au Ecologie au Quotidien ( «Everyday Ecologie») dans la ville de Die, dans les contreforts des Alpes. En été , une station touristique populaire, il est également à la maison à beaucoup de gens qui se déplacent là – bas pour l’air propre, le mode de vie sain, et l’alternative, la culture créative du lieu. Cet événement annuel est dans sa 15 ^e année, et fonctionne plus de 9 jours avec un éventail éblouissant d’ateliers, des conférences, des projections de films et des événements pratiques. Die est situé dans la Biovallée Drôme, une région de la vallée entière qui pousse à être le premier 100% vallée biologique en France.

Je faisais partie d’un forum ouvert dans l’après-midi, animé par Coraline Monnot. Il était une sorte de Open Space regardant ce sont tous les projets déjà en cours dans la région, et comment pourrait-il se connecter plus efficacement. J’ai donné une brève présentation au début regardant les 7 ingrédients essentiels comme une fondation précieuse pour tout projet de groupe réussie et alors les gens cassé en groupes pour discuter de leurs idées. Pendant ce temps, je suis allé pour une promenade autour de Die avec Tristan et Estelana, errant autour de belles ruelles où j’ai pu aller dans ravissements Motif de langues, apprécié les montagnes qui entourent la ville, acheté quelques bouteilles de bière de l’un des 7 (! ) petites brasseries autour de la ville, et vérifié l’église.

Nous sommes rentrés à temps pour la clôture de la session, des personnes affichant leurs nombreuses grandes idées autour de la salle. Je me suis rappelé une fois de plus de la distinction entre une consultation classique et Open Space. Dans le premier, les gens sont invités à donner des idées dans l’espoir que quelqu’un d’autre pourrait le faire, loin de donner une de leur pouvoir de ceux qui sont habilités à prendre les décisions. Dans ce dernier, les gens apportent leur passion, une question dont ils ont besoin de partager, une proposition qu’ils cherchent le soutien des autres pour. Il déverrouille l’énergie pour faire bouger les choses, il se concentre l’attention autour de faire des projets une réalité. Je fus alors invité à donner quelques dernières pensées, des commentaires sur le processus.

Il y avait alors un peu de temps avant de souper, et la préparation à l’apogée de la soirée, la projection du film «Qu’est-ce sur assister? ( «Qu’est – ce qu’on attend?» ), Qui je l’ ai déjà passé en revue ici . Jean-Claude Mensch, le maire d’Ungersheim, et star du film, et son épouse Martine, étaient venus pour le dépistage. Après le repas du soir, la salle a été ré-arrangé pour la projection. Les gens sont arrivés, et sont arrivés, et sont arrivés. Le public ne cesse de croître, de sorte que , à 20 heures, le temps du film devait commencer, il y avait encore beaucoup de fringant autour d’ obtenir plus de chaises. Et plus de chaises et autres chaises. En fin de compte , environ 700 personnes ont été entassées dans la salle, et le film a finalement commencé à 20.20.

Je l’ai déjà vu avant, mais il était fascinant de voir avec un public français. Je l’ai regardé sur mon propre, avec sous-titres anglais, mais il était bon de voir comment tout le monde a trouvé drôle, avec certaines parties du film se salves d’applaudissements. Même un défaut technique qui signifiait le tout arrêté au milieu pendant environ 10 minutes, ne semble pas freiner l’enthousiasme des gens. La fin du film a été accueilli avec les applaudissements.

Jean-Claude et moi avons été invités sur scène, et répondu aux questions et partager quelques réflexions. Il y avait une énergie incroyable dans cette chambre. Si je pouvais en bouteille et de le vendre, je ferais une fortune! Il était l’énergie de la possibilité, de connexion, de renouvellement, et, oui, de la résistance. Il y avait un merveilleux sentiment partagé d’inspiration, un sens de l’histoire Ungersheim que, comme Arundhati Roy dit, «un autre monde est non seulement possible, elle est sur son chemin. Sur une journée tranquille, je peux l’entendre respirer « . Ce fut un moment très spécial, se sentait vraiment puissant en quelque sorte. Malheureusement, à 23h30 je devais faire mes excuses (tout le monde a été encore très bien!) Que nous avions encore le lecteur d’une heure vers Romains, et je devais être en place pour le train de 6 heures à la maison.

Un merveilleux voyage inspirant. Pendant que j’y étais, le changement climatique denier, Fruitloop de combustibles fossiles et conseiller Donald Trump Myron Ebell a été cité comme disant que le mouvement environnemental est «la plus grande menace à la liberté et à la prospérité dans le monde moderne ». On pourrait être tout à fait pardonné pour répondre « on prend à se connaître ». Mais clairement en France que les gens sont la construction de réseaux, que les jeunes gens se pète, imaginer un nouvel avenir, à l’opposé de nonsense version Ebell de l’avenir, et ils sont tirés par toute possibilité d’aujourd’hui étant le temps de créer tout un monde meilleur.

Mon moment préféré sur le voyage est venu près de la fin de l’atelier de l’après-midi dans Romains. Un couple de personnes âgées a dû quitter tôt, et ainsi se leva pour offrir leurs excuses pour quitter. « Je voulais juste dire », dit l’homme, « que je me sens si heureux de voir les gens de tant de siècles différents aujourd’hui. Pendant des années, des événements comme ceux-ci ont juste été des gens comme moi « . Il ôta son chapeau et a souligné sa tignasse de cheveux blancs. « Maintenant, vous êtes tous ici, et il se sent fantastique », at-il dit, avant de donner à la pièce une vague copieux puis de partir.

Mes remerciements à Eve, Tristan et Estelana, mes traducteurs merveilleux, à mes hôtes, à Patrice pour l’invitation, aux bonnes personnes au gouvernement de la ville de Grenoble, à tous ceux qui sont venus aux pourparlers, et à ceux qui étaient incapables de se mettre en .