Avec lui, l’agriculture biologique devient « l’agriculture normale », l’autre est appelée « agriculture toxique », la publicité est ringardisée, le bétonnage cesse et même recule, les jeunes peuvent acquérir des terres pour faire du maraîchage « normal », des armées de juristes s’emploient à paralyser la réaction des multinationales polluantes…
Une tentative drôlatique de parler de choses sérieuses tout en s’amusant, de remettre joyeusement le monde à l’endroit en se moquant des faux-semblants de notre époque. Un objet littéraire improbable, inclassable, mais qui ouvre sans aucun doute une brèche psychologique dans le carcan idéologique qui nous écrase.
Faut-il la puissance de l’argent pour renverser les forces de l’argent ? La question vaut en tout cas d’être posée ! On s’accommoderait sans doute bien mieux d’un milliardaire comme celui-là, ça changerait de la vulgarité et de la vénalité de ceux qui nous imposent aujourd’hui la destruction du monde et de la démocratie. De Davos au Wyoming et de Notre-Dame-des-Bruyères à la Beauce reconquise, on se prend même à rêver de voir cette épopée portée à l’écran.
Bonnes fêtes de fin d’année à vous toutes et tous, sans trop de gaspillages mais pleines de plaisirs, d’amitié et d’affection !